Coronavirus et Ere du Verseau : match retour de l’Univers contre l’Homme…
Un des principes de l’Ere du Verseau est cette fameuse idée de « pensée créatrice » : nous fabriquons notre réalité. Ce que vous vivez est, dans l’état de vos contradictions internes (qui créent une sorte d’interférence au lieu d’envoyer à l’univers les bons signaux), exactement ce que vous voulez le plus, ce à quoi vous croyez profondément, ce à quoi vous adhérez en terme de valeurs.
Certainement comme pour beaucoup d’entre nous, je me suis réveillée ce matin avec l’idée suivante : ayant pris un tournant radical zéro déchet, détestant, depuis mon arrivée sur terre, les distractions, les systèmes obligatoires de convention sociale, les discriminations, la course à l’argent, l’incapacité à avoir du temps et à vivre tout simplement, je me suis dit que je souhaitais plus que tout ce changement de monde.
Bien sûr que j’en suis malade de la souffrance, des gens qui partent avant l’heure, des souffrances physiques endurées que je n’ose même pas m’imaginer, bien sûr que je suis raide d’admiration devant le courage des soignants comme on les appelle depuis quelques semaines, mais une part de moi se dit que peut-être on va enfin comprendre que l’agriculture, pourquoi pas biologique, les médecins, les infirmiers sont plus essentiels à la société que les fonds d’investissements.
Va-t-on comprendre enfin cette phrase de Gandhi : pour que tous aient ce qu’il faut, il ne faut pas que certains aient trop.
Ras le bol de la société de consommation, des voyages de 3 jours à l’autre bout de la planète. Ras le bol de cette perte de conscience continuelle dans les divertissements qui nous évident de notre âme.
Ras le bol du monde tel qu’il était.
Oui, c’est important de prendre soin de son corps, mais le jardinage ou construire des maisons, des bateaux ne vaudrait il pas mieux que d’aller en salle de sport ?
Assez avec l’apparence. Les malades en réanimation ne se demandent pas où ils vont faire leur brushing. Assez avec cette société qui dénie que certains n’ont rien.
Et l’idée avec laquelle je me suis réveillée, était : et si à force de vouloir que les choses changent, nous tous ensemble qui en avions assez, aurions-nous créé ce principe minuscule et unique qui met l’ancien monde à terre ?
Nous voulions changer, nous espérions une société différente, et si l’univers finalement nous avait entendu ?
Nous portons énormément de violences en nous, et nous sommes allés trop loin, c’est pour ça que ce minuscule petit virus est si virulent…
Une amie me disait : clairement, Dieu veut qu’on change de plan. Et si on ne change pas, ça ne s’arrêtera pas.
Alors, qu’allez-vous changer ? Qu’allez-vous comprendre dans votre vie ? C’est ainsi que chacun à notre mesure, dans ce monde où la force de la pensée est enfin reconnue comme la plus forte, nous allons pouvoir arrêter l’épidémie.
Personnellement, je ne veux plus de cette pandémie effrayante qui a l’air de tuer aveuglément trop de gens, mais je ne veux plus non plus de la société qui l’a permise.
Changeons tout, changeons-nous nous-même… d’urgence